Derniers flocons.
( d’après Première neige de Lilasys, avec mes excuses pour le détournement de ce poème ce jour de respect pour nos défunts du 13 novembre.)
La noirceur des faux cons envahit tous les vieux,
Sombres souvenirs des cons qui enlèvent l’envie,
Etre cool pour les anxieux n’est qu’une cape d’ennui,
Les ténèbres noircissent, me taire fait revivre les odieux.
Froides armes d'un fiel des passages souffreteux,
Qui fondent au flanc, élancent un fol hiver de dépit,
Qu’une traite chaleur des poux creuse et glapit,
En frise nouvelle, en un tableau haineux.
Enlacée des durs éclats d’une glaise de détresse,
Qui bastonnent aux frimas aux glandes traîtresses,
Revoyez, Oh ! Simples gens, les indices des folles visions.
Sans me taire, je voudrai une poudre pour le sacre,
Des vieux marchant sur le sable du passé sans coton,
Pour que l'hiver décampe enfin sur des carats de nacre.
Première Neige.
Une blancheur de neige envahit mes grands yeux
Tombent mille flocons sur ce qui donne vie
Alcool pur des cieux sous un manteau de pluie
L'aube blanchit la terre où vivaient nos aïeuls
Froides larmes d'un ciel sous poncho duveteux
Sur fond de blanc silence un sol feutré varie
Une abstraite pâleur en poudreuse marie
Et frise la ruelle en un tableau laiteux
Glacée en pur éclat, la glèbe enchanteresse
Moutonne le frimas de grande forteresse
Voyez, Ô bonnes gens, blandice de vison
Sur parterre de lys, il saupoudre de sucre
Le vieux marchand de sable au perlé de coton
L'hiver se campe alors sur ses carats de lucre...
LILASYS
( d’après Première neige de Lilasys, avec mes excuses pour le détournement de ce poème ce jour de respect pour nos défunts du 13 novembre.)
La noirceur des faux cons envahit tous les vieux,
Sombres souvenirs des cons qui enlèvent l’envie,
Etre cool pour les anxieux n’est qu’une cape d’ennui,
Les ténèbres noircissent, me taire fait revivre les odieux.
Froides armes d'un fiel des passages souffreteux,
Qui fondent au flanc, élancent un fol hiver de dépit,
Qu’une traite chaleur des poux creuse et glapit,
En frise nouvelle, en un tableau haineux.
Enlacée des durs éclats d’une glaise de détresse,
Qui bastonnent aux frimas aux glandes traîtresses,
Revoyez, Oh ! Simples gens, les indices des folles visions.
Sans me taire, je voudrai une poudre pour le sacre,
Des vieux marchant sur le sable du passé sans coton,
Pour que l'hiver décampe enfin sur des carats de nacre.
Première Neige.
Une blancheur de neige envahit mes grands yeux
Tombent mille flocons sur ce qui donne vie
Alcool pur des cieux sous un manteau de pluie
L'aube blanchit la terre où vivaient nos aïeuls
Froides larmes d'un ciel sous poncho duveteux
Sur fond de blanc silence un sol feutré varie
Une abstraite pâleur en poudreuse marie
Et frise la ruelle en un tableau laiteux
Glacée en pur éclat, la glèbe enchanteresse
Moutonne le frimas de grande forteresse
Voyez, Ô bonnes gens, blandice de vison
Sur parterre de lys, il saupoudre de sucre
Le vieux marchand de sable au perlé de coton
L'hiver se campe alors sur ses carats de lucre...
LILASYS